On peut le dire, cette grève fut la preuve que la crise mondiale paralyse l'économie, et fait monter la tension au sein des familles françaises.
Mais comment s'étonner que les choses changent en deux mois alors que l'on nous promet jusqu'à une année de récession ?
Mais rien ne sert de vouloir toujours plus, en pressant un citron déjà pressé, l'état entend les revendications des citoyens, mais les mesures prises au cours de la précédente grève doivent être évaluées avant d'être décriées.
Le service minimum a fonctionné, et c'est une chance pour tous ceux qui n'ont pas le choix de se défiler devant de haute responsabilité ou par soutien au gouvernement.
Eh oui tous ne sont pas concernés par les grèves qui se multiplient par plaisir, pour faire affront à des propos du président, mais je pense que la raison veut que nous pensions à nos enfants, et à notre devenir après la crise.
La grève nous a montré ses limites en arguments car en temps de crise plus aucune revendication rebelle n'est primordiale à la survie d'un peuple.
Nous devons continuer à nous montrer influents dans l'union européenne tant la France a su montrer l'exemple en matière de plan de relance.
Mais tout plan de relance ne prospère pas en semaine, soyons réalistes : ce n'est pas parce que le gouvernement reçoit aussi souvent les syndicats qu'il faut rendre le peuple remonté contre le gouvernement pour servir la cause des assistés.
Je ne conçoit pas les choses de la même façon que les grévistes car pour la première fois, nous avons un gouvernement nous autorisant le débat, et qui répond à toutes les interrogations des citoyens. Rien, ni personne n'est laissé de côté.
Tout ce que je peux dire c'est que le gouvernement travaille sérieusement dans l'intérêt des français, et que si des problèmes subsistent ils ne sont que personnels, mais l'équipe travaille ensemble dans le sens des citoyens voulant  assurer leur avenir sous de meilleurs hospices.
Toutes les revendications sont démagogiques et inapplicables en France, car personne ne peut vouloir faire survivre des rémistes sans avoir l'occasion d'être propriétaire en comparaison a des travailleurs que l'on aide à laisser un patrimoine à ses enfants.
La guadeloupe et la réunion ont montré un mauvais exemple que les français qui veulent devenir riche sans responsabilité et sans travailler ont cru bon de copier.
Les choses ne sont pas comparables et notre désespoir en temps de crise est suffisamment pris en compte sans mettre la pression à tous les citoyens. L'extrême gauche se régale mais à la sortie de crise, elle risque de le  payer très cher.

Comme il me serait agréable de revivre le moment où Nicolas m'a regardé dans les yeux. Moment unique et éternel !
Je crois que nos regards se sont croisés de façon magique, il est resté quelques secondes accroché à mon regard, moment qui restera gravé dans mon coeur.

J'étais pleine d'admiration et je crois bien que lorsque son regard s'est posé sur moi je l'ai tellement fixé que les larmes me sont facilement venues.

Je n'oublierai jamais...

A Chatuzange le Goubet, nous étions nombreux à répondre à l'invitation de Nicolas pour parler de politique. Nous avons attendu le président mais personne n'est sorti déçu. L' allocution de Nicolas était extraordinaire par le bon sens et par les mêmes convictions que nous partageons.

Il n'en fallait pas beaucoup pour que la salle s'enflamme sous des hurlements et des applaudissements de plus en plus fort.

Je ne regrette pas d'avoir fait le déplacement, un moment très riche d'émotion et puis entre nous il est encore plus beau de près.

La commission européenne a soutenu le plan d'aide aux constructeurs automobile français et c'est un grand soulagement.

En effet combien sont-ils à vivre de l'industrie automobile, avec ses filiales de pièces détachées. Le parc automobile est plutôt bien renouvelé et c'est en sécurité que l'on gagne avec des mesures de contrôle automobile plus sévères, d'où la necessité de ne pas laisser tomber les constructeurs automobiles pour continuer à sauver des vies. La route étant la plus mortelle et la sécurité de plus en plus recherchée.

C'est pourquoi, on ne peut pas parler de protectionnisme dans cette situation de crise financière et économique mondiale.

De plus Nicolas Sarkozy ne veut plus de délocalisation, il défend chaque emploi et c'est bien le premier qui met autant d'énergie à combattre ces inégalités.

Combien de familles ont tout perdu avec le départ de leur entreprise à l'étranger, certains avec des crédits et des enfants à nourir. Le tout n'est pas de dire : "oh les pauvres" quand on est pas touché, mais il faut agir pour défendre notre ambition d'une économie florissante. Tout le monde y gagnera.

Nicolas est très courageux car il se donne du mal pour que les européens parle d'une même voix, chose indispensable pour une construction de l'Europe solide.Car comment peut-on expliquer que l'on a voulu l'Europe sans jamais prendre des décisions ensemble allant dans le même sens ?

Nicolas est souvent critiqué mais personne ne voudrait faire ce qu'il fait, il travaille beaucoup à restaurer l'image de la France, et à faire que la France ne compte pas pour des prunes. Les étrangers trouvent les français prétentieux mais on se demande bien pourquoi ?

 Je ne suis pas pour un facebook payant, car pourquoi se servir de ce fabuleux moyen d'avoir des amis par affinités, pour nous taxer alors que nos payons déjà un accès internet.  Facebook est connu a travers le monde entier et il n'est pas utile de briser ce qui marche.