22 septembre 2009
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19:01
C'est avec beaucoup d'opposition entre les avocats du principal accusé Dominique de Villepin et de la partie civile représentant Nicolas Sarkozy, que commence ce procès qui n'est autre que la tentative pour Dominique de Villepin de sortir blanchi de ce procès. Il l'annonce aux caméras : " Je prouverai mon innocence".
Mais comment dans une histoire de réseau de corruption, les personnes politiques au sommet du gouvernement de Jacques Chirac, pouvaient ignorer la liste des noms cités au procès. C'est impensable.
Et de là à rajouter des noms pour salir Nicolas Sarkozy, par hasard juste un peu avant les présidentielles est tout simplement un coup bas très bien orchestré.
D' ailleurs en lisant des articles parlant du début de l'affaire, on voit bien que les hommes de pouvoir de l'époque, au courant des listes qui allaient faire du bruit, ont trouvé là un bon moyen de se servir de l'incompétence de certains individus à être honnêtes.
Mais la finesse avec laquelle se défend Dominique Villepin ne cache pas l'homme avide du pouvoir élyséen prêt à tout. Sûrement très bien soutenu, il a agit en toute impunité.
Reconnaissons que Nicolas Sarkozy avait la route toute tracée pour être le meilleur candidat UMP aux présidentielles. Sa ténacité, son courage, son dynamisme, son talent ont trouvés des soutiens, sous l'oeil agacé de Villepin.
Que pouvait-il faire en voyant toute cette organisation autour d'un candidat apprécié par les français, sinon que de le toucher en trouvant un stratagème que les français auraient jugé à coup sûr comme un acte capable des seuls dictateurs ou parias de la société.
Toute cette affaire était bien calculée et on aura peut-être bien des surprises, tout au long de ce procès.
La course à l'élysée, car la route est longue et épuisante, ne doit pas se faire au détriment de l'honnêteté et de la vérité. Tous ont fait campagne mais seul Villepin savait qu'il ne fallait qu'un coup fatal à Nicolas Sarkozy pour réunir toute leur famille politique autour de lui. Après Nicolas Sarkozy aurait pu crier, Villepin au pouvoir l'aurait nargué.
Nicolas a raison d'en vouloir à Dominique de Villepin qui voulait changer le cours de l'histoire des noms des présidents de la république française, par des moyens nuisant à son intégrité, lui qui ne faisait qu'écouter les hourras du peuple devant son programme présidentiel.
Mais comment dans une histoire de réseau de corruption, les personnes politiques au sommet du gouvernement de Jacques Chirac, pouvaient ignorer la liste des noms cités au procès. C'est impensable.
Et de là à rajouter des noms pour salir Nicolas Sarkozy, par hasard juste un peu avant les présidentielles est tout simplement un coup bas très bien orchestré.
D' ailleurs en lisant des articles parlant du début de l'affaire, on voit bien que les hommes de pouvoir de l'époque, au courant des listes qui allaient faire du bruit, ont trouvé là un bon moyen de se servir de l'incompétence de certains individus à être honnêtes.
Mais la finesse avec laquelle se défend Dominique Villepin ne cache pas l'homme avide du pouvoir élyséen prêt à tout. Sûrement très bien soutenu, il a agit en toute impunité.
Reconnaissons que Nicolas Sarkozy avait la route toute tracée pour être le meilleur candidat UMP aux présidentielles. Sa ténacité, son courage, son dynamisme, son talent ont trouvés des soutiens, sous l'oeil agacé de Villepin.
Que pouvait-il faire en voyant toute cette organisation autour d'un candidat apprécié par les français, sinon que de le toucher en trouvant un stratagème que les français auraient jugé à coup sûr comme un acte capable des seuls dictateurs ou parias de la société.
Toute cette affaire était bien calculée et on aura peut-être bien des surprises, tout au long de ce procès.
La course à l'élysée, car la route est longue et épuisante, ne doit pas se faire au détriment de l'honnêteté et de la vérité. Tous ont fait campagne mais seul Villepin savait qu'il ne fallait qu'un coup fatal à Nicolas Sarkozy pour réunir toute leur famille politique autour de lui. Après Nicolas Sarkozy aurait pu crier, Villepin au pouvoir l'aurait nargué.
Nicolas a raison d'en vouloir à Dominique de Villepin qui voulait changer le cours de l'histoire des noms des présidents de la république française, par des moyens nuisant à son intégrité, lui qui ne faisait qu'écouter les hourras du peuple devant son programme présidentiel.
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